> MAISON : Silas a été répartie dans la maison Serdaigle quand il était à Poudlard, il a d’ailleurs eut un long débat avec le choixpeau à ce sujet qui hésitait à l’envoyer dans la maison Serpentard, mais c’est Silas qui a réussi à convaincre le choixpeau hésitant que Serdaigle lui conviendrait mieux. Serpentard l’aurait certes aidé sur le chemin de la grandeur, mais la reconnaissance n’a jamais été sa quête, lui depuis son plus jeune âge est en quête de connaissances, de savoir, il est érudit et avide de connaitre tout sur la magie. Avant même d’entrer à Poudlard il avait déjà commencé à dévorer ses manuels, histoire de prendre de l’avance.

> OPTION/CURSUS OU EMPLOI : Silas est un potionniste réputé dans le monde des sorciers, en fait il a travaillé de nombreuses années à Ste Mangouste dans un secteur de recherche, il travaillait notamment sur un remède sur la variole du Dragon, mais quand sa sœur est entré à Poudlard, il a fait un choix de carrière différent, et a souhaité devenir professeur à Poudlard, ainsi il pouvait continuer à veiller sur elle. Il est donc Professeur de Potion à Poudlard depuis environ huit ans.  Il est réputé pour être un professeur réclamant sans cesse l’excellence et qui ne laisse pas beaucoup de place à l’erreur dans ses exercices, et réclame sans cesse un silence quasi constant.

> BAGUETTE : Sa baguette est inflexible, un peu comme lui, il aime l’ordre et sa baguette le lui rend bien. Elle est en bois de hêtre, et est particulièrement rigide, le manche est assez froid, et permet une bonne prise en main. A l’intérieur on y trouve de la racine d’asphodèle en poudre et également un crin de sombral, c’est une baguette pour les enchantements.

> TRAITS DE CARACTÈRES : Narcissique – profondément froid – aime l’ordre – ne supporte pas le bruit – aime que tout soit ordonné et comme il le veut lui – il est aussi intransigeant qu’une personne puisse l’être – homme à femme  - caractériel -  très protecteur envers les siens – possède un très grand sens de l’honneur – intelligent – il a été l’élève le brillant de sa génération quand il était à Poudlard – charismatique – prétentieux – maniaque – peut être violent parfois – considère la pureté du sang comme primordiale -  N’a aucune tolérance pour l’échec autant pour lui que pour les autres, sauf pour sa sœur – se considère responsable pour sa sœur, et ne tolère pas qu’on lui cherche des noises – dragueur, sauf avec ses élèves - son oncle considère qu'il s'est trompé de voie en choisissant d'être professeur.

> PATRONUS : Son patronus est un aigle, c’est sans doute parce qu’il est issu de la maison serdaigle, et que cette maison l’a aidé à devenir autre chose qu’un Black mafieux comme son oncle, ou comme son père. Il considère que Serdaigle a un peu sauvé son âme en quelque sorte.

> EPOUVANTARD: Son épouvantard est simple, le corps sans vie de sa sœur, après qu’elle ait été rouée de coups, ça il ne se le pardonnerait pas, il a failli la perdre plus d’une fois à cause des coups de leur père, plus jamais il ne laisserait quelqu’un lever la main sur elle, plus jamais.

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> AVEZ VOUS UN CAMP ? Je dois avouer qu’il est évident que le camp que j’ai choisi est celui des Gaunt, je considère leur cause comme noble. La pureté du sang est une chose importante que mes ancêtres se sont efforcé de respecter et de voir autant de sang de bourbe à Poudlard, autant de sang de bourbes occuper des postes importants au ministère me dégoutte tellement, ça me donne la nausée. En cours, j’essaie d’être impartial, mais j’ai tenté d’être aimable, mais, j’ai l’impression qu’ils sont plus faibles que les autres. Ma famille est pure depuis tellement d’années que je me fais un devoir de préserver l’honneur des miens.

> VOTRE OPINION SUR LA PLACE DU SANG DANS LA SOCIETE MAGIQUE ? Le sang est pour moi le moteur central de la vie dans le monde des sorciers, les sangs de bourbes nous sont inférieur, tout comme les sangs mêlés, il faut qu’ils soient relégués à leur juste place : en bas de l’échelle, ou bien hors de notre société. Le sang est important, le sang c’est la famille, le sang c’est le pouvoir, le sang c’est la vie – s’il est pur c’est encore mieux.  Quand je vois le monde des sorciers aujourd’hui, souillé de la sorte, cela me donne une profonde envie de vomir – mais vraiment, tant de sang de bourbes qui occupent des places importantes, ils devraient être au fond du trou plutôt qu’à se pavaner de la sorte.

> VOS AMBITIONS PERSONNELLES, LA VISION DE VOTRE AVENIR Je crois que j’ai fait le choix de vivre pour une seule personne : Atarah – c’est peut-être le choix le plus stupide de toute ma vie, mais je m’en fiche, je vivrais pour ma sœur, et irait avec elle où elle ira tant qu’elle continuera à vouloir de moi à ses côtés. Mais, d’ici quelques années quand elle aura fini ses études, je compte arrêter l’enseignement et reprendre mes recherches au sein de Ste Mangouste j’ai toujours d’excellent contacts au sein de l’hôpital magique, et mes recherches sont en stand by depuis quelques années, mais je m’y replonge depuis quelques temps.

> PSEUDO :      
> AVATAR :   Fassy    
> COMMENTAIRES ?      

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I SHOULD BE STRONGER, I SHOULD BE BETTER.

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Il avait les cheveux assez roux quand il était enfant, il avait de petite boucles rousses sur le sommet de le tête, délicatement plaquées avec un peu de gel pour ressembler plus à son père, sa chevelure, il la tenait de sa mère, une sublime femme rousse, à la longue chevelure bouclée qui les révélait toujours dans un sublime chignon. L’image de sa mère vivait toujours dans le cœur du sorcier, même des années après sa mort, elle avait été la première femme qu’il avait jamais admiré, et celle qu’il admira le plus de toute sa vie. Sa mère avait été tragique, puisque c’était en donnant naissance à la dernière-née : Atarah, elle s’était éteinte en donnant la vie à la personne qui le ressemblait le plus. Silas quant à lui était l’aîné de la famille Black, mais cela ne faisait pas de lui le chouchou de son père, au contraire. Il était l’unique espoir de grandeur de cette famille, puisque son second frère était un cracmol. Son père était dur avec lui, exigeant alors toujours le meilleur de lui-même. A la naissance d’Atarah, leur père est devenu de plus en plus violent, blâmant ce pauvre bébé pour le manque d’héritier dans la famille, « Allons, soit sérieux une minutes, Maximilian, jamais Silas ne pourra être à ma hauteur, me voilà flanqué d’un pet-sec de Serdaigle, d’un putain de cracmol et d’une fille, me voilà bien ! » S’exclama son père en se resservant un verre de whisky pur feu. Ce jour-là, Silas avait dix-sept ans, et c’était l’anniversaire d’Atarah –une grande réunion de famille avait alors lieu. Silas était grand pour son âge, fin, et plutôt musclé, malgré le manque de pratique de sport au goût de son père, il avait toujours préférer les livres à la frime. Il était assis sur les marches de l’escalier en chêne de la demeure des Black, avec Atarah qui était assise à côté de lui, il avait un livre sur les genoux, et lui faisait la lecture. Les deux avaient toujours été très proche l’un de l’autre, au grand damne de leur père qui voyait ça comme une sorte de coalition. Silas était grand pour son âge, fin, et plutôt musclé, malgré le manque de pratique de sport au goût de son père, il avait toujours préférer les livres à la frime. Il était assis sur les marches de l’escalier en chêne de la demeure des Black, avec Atarah qui était assise à côté de lui, il avait un livre sur les genoux, et lui faisait la lecture. Les deux avaient toujours été très proche l’un de l’autre, au grand damne de leur père qui voyait ça comme une sorte de coalition. « S’il te plait ! » dit alors la petite fille à la somptueuse chevelure rousse en faisant une moue boudeuse, « Silas ! La marmite ! La marmite ! » Elle adorait quand il lui lisait des histoires. Il fit une mine fausse contrarié et fit mine d’avoir cédé alors qu’en réalité, il mourrait d’envie de lui lire un comte de Beedle le Barde, « Le sorcier et la marmite sauteuse ». « Bon allez, c’est parti… » Dit-il alors en tournant la première page. Soudain, ils furent interrompus par une jeune femme du même âge que Silas qui fit claquer ses talons sur le parquet massif. Elle semblait vraiment énervée. « Silas ! » dit-elle alors, la voix enjouée, mais énervée. « Et si on montait dans ta chambre, cette soirée est nulle. » Elle fit une petite moue boudeuse, suivie d’un sourire particulièrement aguicheur. Ça c’était  Lucretia Greengrass, son actuelle fiancée de l’époque, une fille particulièrement sublime, mais, elle n’attirait pas toute son attention. « Je lis l’histoire à Atarah, elle irait dormir après. » La petite fille de trois ans sembla lancer un regard plein de défi à la fiancée de son frère, et se mis à trépigner d’impatience à l’idée que son frère allait lui lire un livre. « Toujours Atarah… Atarah par ci, Atarah par-là ! C’est une gamine ! » Pesta alors Lucretia, en lui tournant le dos. Il posa alors le livre sur les genoux de sa petite sœur, et se leva alors pour aller essayer de retenir Lucretia il l’attrapa alors par le bras et dit alors : « Lucretia… attend. » Il la fit se retourner vers lui, « Allez viens avec moi… » Dit-elle en se languissant de lui, « Juste toi et moi on est bientôt mariés de toute manière… allez, laissa-là, elle va grandir toute seule. » Il ne pouvait pas laisser sa sœur avec son père, il était trop dur avec elle, il était trop odieux, il la tenait responsable de tellement de chose, il ne pouvait pas la laisser, jamais il ne pourrait la laisser. « Non, je suis désolé, mais je ne peux pas… » Il lâcha alors le bras de sa fiancé, et dit alors : « Tarah, vient, on va aller lire le livre dans ta chambre, comme ça tu pourras t’endormir. » Il ne jeta alors plus un seul regard à sa fiancée – bientôt Ex-fiancée-  la petite fille ferma le livre et le serra contre elle, quand elle se leva, et quand son frère passa à côté d’elle, elle attrapa sa main avec la sienne, si petite en comparaison, et quand Silas eut le dos tourné, elle jeta un regard triomphant à Lucretia. Elle était sa sœur, il était son frère, ils avaient un lien fort, puissant, inaliénable, et ça, Silas ferait tout ce qui est en son pouvoir pour le préserver, absolument tout.

Elle dormait paisiblement, Atarah avait pas mal grandit en une année. Il y avait un drame l’an dernier, leur frère Mark avait sauté d’un pont. Alors âgé de treize ans, lassé d’être rabaissé par leur père, lassé de passer pour la honte de la famille, il avait mis fin à ses jours en sautant d’un pont dans le Londres Moldu, Atarah avait été triste, mais c’était Silas qui en avait le plus souffert, il se sentait parfois responsable de sa mort. Atarah avait les cheveux encore plus longs, mais ils avaient la fâcheuse tendance de s’emmêler régulièrement.  Elle dormait dans son lit. Son sommeil n’était pas vraiment paisible, elle fut réveillée quand son frère âgé de presque vingt ans entra dans sa chambre. Il semblait apeurer, affolé, et il ne semblait plus savoir quoi faire. Il s’assit sur le lit de sa sœur, qui le fixait avec un sourire, et elle lui attrapa la main pour être rassurée. « Tu restes avec moi, dis. » dit-elle de sa voix fluette, et à moitié endormie. « Bien sûr, toujours, endors toi, je suis là. » dit-il en caressant ses cheveux. Il n’en fallu pas plus pour qu’elle ferme ses yeux et sombre dans les bras de Morphée. Sa main caressant ses cheveux tremblait un peu. Sa sœur avait ses petits bras d’enfant découvert et Silas y voyait les traces de la colère de leur père, des bleus par ci par là, comme si pour blâmer cette enfant il fallait joindre aux horribles mots des coups. Mais, plus jamais il ne pourrait lui faire du mal, plus jamais.  Soudain, la nuit fut percée par le cris de l’elfe de maison. Réveillant la petite en sursaut. Silas ne sursauta pas, sachant parfaitement que l’elfe avait trouvé le corps sans vie de son père. C’était un sacrifice nécessaire au bienêtre des Black, un sacrifice nécessaire au bienêtre de sa sœur. Jamais la vérité n’éclaterait à ce sujet, un accident, il était ivre et s’était un peu trop penché par-dessus le balcon de son bureau au troisième étage, et il était tombé. Personne ne soupçonnerait son fils de l’avoir poussé, personne n’avait jamais compris, sauf Atarah qui quand ils furent accueillit à Sainte Mangoustes après la découverte du corps de leur père, elle avait murmuré alors, dans les bras de son frère « Merci Silas. » Elle était si petite, et déjà bien érudite.

Il était devant le tableau noir, debout, tandis que derrière lui la craie glissait comme par magie sur le tableau, décrivant le mot : « Silence » - il était professeur à Poudlard depuis quelques années, et il adorait cela, enseigner lui donnait envie de continuer d’avantage.  Il portait une robe de sorcier sombre, presque noir, mais dont la couleur vivait presque au gris anthracite. Etre un professeur était une chose terriblement plaisant parce que cela lui donnait réellement l’impression d’avoir du pouvoir sur ses élèves. Si au départ il était devenu professeur ce n’était pas par choix, ni par plaisir, il l’avait fait pour une femme, la seule femme qui réussirait à lui faire tout faire : Atarah. Au départ, c’était pour veiller sur elle, puis il y avait pris goût. Elle occupait sa vie, qu’il le veuille ou non, et cela lui avait coûté plusieurs fiancées, et même petites amies qui n’arrivaient pas à accepter la présence d’Atarah dans la vie du sorcier. Il était en plein control surprise avec ses élèves de troisième année, il ne leur laissait aucune place pour l’échec. Il s’assit à son bureau pendant tout le reste de l’épreuve fixant les élèves, surveillant pour qu’il n’y ait pas de triche. Quand le cours fut terminé, la plupart des élèves déposèrent leur test en silence. Il réunit alors tous les manuscrit de ses élèves et les posa sur son bureau quand une jeune femme à la chevelure rousse frappa à la porte, déjà ouverte. Il leva les yeux, et vit Atarah, elle avait bien grandit depuis la mort de leur père, et Silas était si fier qu’elle soit devenue une si belle et grande jeune femme. « Tiens, voilà celle qui sèche les cours. » dit-il avec une pointe de sarcasme dans la voix. Elle entra avec une certaine nonchalance qu’elle avait en sa présence, et ferma la porte derrière elle, posa alors son sac près de la porte et répondit alors : « J’ai séché une seule fois… arrête avec ça. » répondit-elle un peu vexée. « Une fois pour aller avec ce crétin qui t’a laissé tomber le surlendemain, avoue que ce n’est pas très futé. » répondit-il avec amusement en faisant un pas vers elle. Elle esquissa une moue boudeuse et dit alors : « C’était un crétin, je l’aurais laissé tomber de toute manière… » C’est Silas qui laissa échapper un rire amusé, sa sœur n’était guère plus douée que lui pour garder un petit ami, il savait que viendrait le jour où son oncle lui dira qu’il faut absolument la fiancé, comme cela faisait des années qu’il essayait de convaincre Silas de donner naissance à une nouvelle lignée de Black par un mariage. « Mais aucun type n’est aussi bien que mon propre fère, comparé à toi, c’est tous des idiots. » dit-elle en souriant, « Arrête de fayoter. » Dit alors le grand frère en s’asseyant sur une table. Atarah s’approcha alors de lui pour se hisser sur la table à côté de lui, « C’est vrai, tu as placé la barre très haut. »  Elle était sincère, et il dit alors «  Toi aussi. »  répondit-il alors en jouant avec une mèche un peu folle de sa sœur, « Dois-je en déduire que tu ne sors plus avec la pimbèche qui te servait de… petite amie ? »  demanda alors la jeune femme avec une pointe de sarcasme dans la voix. « Elle voulait se marier, quelle idée. »  dit-il en riant. Atarah éclata alors de rire, elle connaissait tellement bien son frère, mais elle jugeait chacune de ses petites amies avec une dureté sans comparaison, et donnait son avis à son frère sans prendre gants, leur relation était sans filtres, ils se disaient tout avec une franchise à faire peur parfois, tout comme il ne se privait pas de dénigrer ses petits amis de façon courante.