> MAISON : Il n'était pas rusé ni très malin, il n'avait rien de pur comme les sang purs, il n'avait rien a faire à Serpentard. Gryffondor, pouvait être sa maison pour son courage, après tout, c'était l'une des raisons qui l'avait emmener à Azkaban, vouloir aider son ami à tout prit malgré ce qu'il avait fait. Il n'était pas très intelligent et ne l'est toujours pas, il n'est pas studieux non plus, Poufsouffle est la maison qui lui ressemble et lui parle le plus.
> OPTION/CURSUS OU EMPLOI : Si il y a bien une chose dont Niklaus veut réussir, ce sont naturellement ses études. Il sait ô combien l'école est dur, ô combien l'école est cher également et il ne se permettrait pas d'échoué. Il est étudiant dans la pédagogie sorcière afin de devenir professeur et peut-être même à Poudlard qui sait.
> BAGUETTE : Il possède une baguette au bois de chêne, une baguette rigide, mesurant 17 cm. Elle contient à l'intérieur un écume de poisson rouge mais rare, se trouvant dans les eaux de l'Irlande.
> CLUBS : Niklaus savait très bien quel club il allait prendre lorsque ceux-ci firent leurs apparitions. Sa première inscription fit celle au club de duel, sa deuxième inscription fit celle au club d'histoire. Il n'aime pas le quidditch alors, il se voyait mal faire du quidditch. Mais il aime le sport, peut-être qu'un jour, il y avait de la boxe sorcier, étant un adepte de boxe moldu.
> TRAITS DE CARACTÈRES : Loyal – Patient – Attentif – Impulsif – Jaloux – Cancre – Solitaire – N'aime pas l'esprit d'équipe – Silencieux – Sportif – Arrogant – Méfiant – Confiant – Ne laisse rien paraître comme émotion – Il ne fait confiance à personne – Dur envers lui même et envers les autres – Il aime être un leader.
> PATRONUS : Il n'a jamais réussi à faire apparaître un patronus, peut-être parce qu'il n'en n'est incapable ? C'est ce qu'il pense quand il sait que d'autre, on réussi à le faire.
> EPOUVANTARD: L'épouvantard de Klaus n'est autre que la mort. Il a peur de voir des corps sans vie, sans respiration, sans battement de cœur. Il a peur de voir de nombreux corps inertes. Ça lui fou les boules, ça lui coupe la respiration rien que d'y penser.
> DON (facultatif) : METAMORPHOMAGES

---

> AVEZ VOUS UN CAMP ? Niklaus ne fait partit d'aucun camp pour le moment, peut-être qu'un jour ou l'autre cela changera. Qu'il prendra possession d'un camp, qu'il sera quoi faire, qu'il aidera ceux qui en on besoin. Mais une chose est sûr, c'est qu'il luttera pour les nés moldus ou les sangs de bourbes comme on les appelles car il en est un. Il donnerait sa vie pour les droits et les valeurs des personnes possèdant ce sang.

> VOTRE OPINION SUR LA PLACE DU SANG DANS LA SOCIETE MAGIQUE ? En faite, je pense que n'importe que tout le monde se trompe. Tout le monde parle de sang, de pureté, de tout ce bla bla que l'on entend parler depuis des années, mais le véritable problème, c'est l'être humain avant tout. Je ne pense pas que le sang soit quelque chose d'important, enfin, en tant que né moldu c'est comme ça que je vois les choses mais si j'avais été de sang pur, j'aurais dis la même chose. A force de trop penser sang, de trop parler pureté, les gamins vont finir avec un handicap et ils seront tous cousins et frères et sœur, puis hommes et femmes de.

> VOS AMBITIONS PERSONNELLES, LA VISION DE VOTRE AVENIR J'aimerais enseigné, faire régné l'ordre pour tout un monde de né moldus. Je sais qu'on peut réussir à avoir notre place dans ce monde des sorciers mais faut-il encore avoir les moyens d'être un bon parleur et de faire preuve de loyauté. J'aimerais retrouvé goût et trouver à nouveau le moyen de faire de ma vie ce que j'entends car j'ai perdu un an à cause d'un crime que je n'ai pas commis.

C'était une nuit d'été, Klaus avait l'intention d'aller se balader avec un de ses amis le plus proche. C'était pas d'une rareté qu'ils sortent le soir, il travaillait la journée à tondre les pelouses, à lavé les carreaux chez les personnes qui le souhaitait. Ce soir, il devait rejoindre son ami devant une certaine maison chez qui, celui-ci, devait rejoindre pour parler à faire. Tout le monde sait la façon dont marche le travail au noir, et Lucius, l'ami de Klaus, devait se faire payer. Le brun avait naturellement accepter, si cela pouvait le faire sortir alors pourquoi pas. Klaus marchait en direction de l'adresse qu'il avait reçut. Lucius était déjà présent sur les lieux. Si il y avait bien une chose que Klaus appréciait, c'était bien les vacances d'été, cela durait plus longtemps et il avait plus de temps de se faire de l'argent. Mais ce qui allait se passé ce soir, allait changer toute sa vie. Il arriva sur le lieu, près d'une maison adepte de la campagne. Il y avait une ferme, qui devait sans aucun doute compter des animaux de sortes différentes. Il ne voyait rien dans le noir, il n'y avait même pas un seul foutu lampadaire qu'il avait souvent la chance de voir. Il savait très bien que dans un village moldu, il ne pouvait avoir que des moldus, ou quelques sorciers mais ce village était connu pour avoir de nombreux moldus. C'était l'une des raisons pour laquelle, il ne sortait pas sa baguette malgré le fait qu'il ne voyait pas Lucius dans les parages. Lucius était un étudiant de Serpentard  qui avait pratiquement tout d'un serpentard sauf sa loyauté. Du moins, c'est ce que Klaus croyait. Plus le brun s'approchait des environs de la maison, plus il semblait être sur les nerfs, et cela prodiguait une changement de couleur de cheveux de Klaus. Le poufsouffle est depuis sa naissance un métamorphosage. Chaque émotions qu'il ressent lui fait changer la couleur de ses cheveux. D'ailleurs parfois il aurait aimé ne rien avoir car quand il s'énerve beaucoup ses cheveux virent au rouge et à Poudlard, cela amène la rigolade à coup sur. « Je t'attendais l'ami, t'en a mis du temps » dit alors Lucius qui sortit de derrière d'un tronc d'arbre. Il donnait l'impression d'être en colère, comme si quelque chose n'allait pas, alors qu'il s'agissait seulement de demander l'argent qu'il devait avoir pour un mois de travail. « J'avais quelque chose à faire, tu pouvais très bien les joindre sans ma présence » répondit alors Klaus qui était froid de cette politesse glaciale. Lucius s'en alla en direction de cette maison tandis que le poufsouffle se mit sous un arbre, adossé contre celui-ci, à attendre, attendre, attendre que cela soit fini, quand soudain...

Un cri de femme se fit entendre, ce qui fit sursauter Klaus de son arbre. Puis le regard en direction de la maison, des flammes apparurent comme si leurs présences était naturelles. La maison était entrain de prendre feu. Il n'hésita pas une seconde à se mettre à courir en sa direction quand il sentit qu'on lui lança un sort au dos. Il se tourna afin de faire face à son agresseur. Lucis lui-même. Pourquoi était-il à l'extérieur de la maison ? Pourquoi le feu était dans cette maison ? Comment s'était-il produit ? « Qu'est ce qui s'est passé ? ! Qu'est ce que t'as fais ?!» dit alors le poufsouffle prenant sa baguette dans la main. Pourquoi un tel acte comme celui-ci, pourquoi avait-il commis un acte criminel ? Une famille de moldu était entrain de perdre vie pour rien, dans la pire des morts. Le feu. Klaus n'aurait pas le courage dans la maison, non pas parce que le feu était entrain de prendre possession mais parce qu'il savait que des corps inertes allait bientôt finir en braises. Tout cela n'était pas loyal, tout cela n'avait aucun sens. Klaus se leva et pointa sa baguette sur Lucius. Qui aurait cru qu'un jour, il poserait sa baguette sur l'ami proche de son enfance. Il désarma Lucius et s'approcha de lui quand soudain, trop d'émotions, un trop de nerfs, il tomba dans les vapes et s'écroula par terre.  Il se réveilla quelque heures plus tard, la baguette de Lucius dans la main qui était sienne à présent. Autour de lui, de nombreux aurors et soudain, le chef des aurors s'exclama : « Niklaus Podolski, vous êtes arrêter pour incendie criminel sur famille moldu. Vous n'aurez pas besoin d'avocat, Azkaban à été prévenu de votre venu ». Klaus essaya de contesté, de parler de la baguette en ne sachant pas qu'une baguette désarmé, est à celui qui la désarme à la suite, qu'elle peut changer de propriétaire. Mais rien ne marcha, rien. La vérité ne triomphait pas. Alors que le mensonge oui.



Durant un an, Niklaus passa ses journées en prison à Azkaban, où il voyait bien le cauchemar qu'il vivait. C'était loin d'être le paradis ou le monde qu'il avait connu. Il écrivait au début, des lettres mais cela ne servait à rien car jamais elles n'étaient envoyées. Puis ce n'était pas une chose facile quand la famille apprend le lendemain, que leur fils est arrêter et est à Azkaban. L'année passait et Klaus n'avait qu'une idée. Se venger. Il voulait retrouver Lucius, il voulait lui faire payer de ce mensonge. Le poufsouffle n'avait commis aucun crime, il n'avait pas souhaiter la mort de cette famille moldu dont il n'oublierait jamais. La barbe de Klaus avait nettement bien poussé. Il n'avait pas le droit au ravoir à cause des suicides, ni au baguette, qui d'ailleurs était celle de Lucius. Un matin, alors qu'il était allongé au sol, dans un état pitoyable, on lui dit : « Ton jour de gloire est arriver Podolski » . Le poufsouffle pensait que le jour où il allait devoir mourir pour un crime dont il n'était pas coupable était arriver mais ce fut le contraire. C'était le jour de sa sortie. Il était libre et sans qu'on le lui dise. Il tomba alors à genoux au sol, les cheveux changeant de couleur, de couleur bleu et il craqua. Il avait subit la prison pour quelque chose qu'il n'avait rien fait et il souhaitait à présent sauver les nés moldus et les aidés comme il le méritait et comme eux le méritaient. Il s'installa à Près au Lard dans une chambre, dans un état de rat mais ce n'était pas pire que la prison. Il se coupa les cheveux, se rase un peu la barbe et marcha en direction de la maison de sa petite amie de l'époque. Seulement voilà, quand il sonna chez elle, il tomba nez à nez avec un homme. « Criminel ! Dégage de là ! Fou le camps ! Elle veut pas te voir ! ». Criminel. Le mot de trop. Klaus sortit son poing et lui en fouta un coup au visage. Un bon coup droit comme il aimait faire à la boxe. Les cheveux du brun virent au rouge, sous la colère et il s'en alla voir sa famille. Il tomba nez à nez devant un vieille homme. Celui-ci lui fit part que la famille Podolski avait déménagé sous la pression de la gazette et du chicaneur. Qu'ils avaient fuient le pays dans l'ombre du doute, croyant leur fils un danger pour eux. Alors qu'il n'en était rien.

Ce n'était évident pour personne, et surtout pour lui. Il avait reconnu ce vieille homme car celui-ci était son voisin de palier. Il avait confiance en lui et heureusement, il ne l'avait pas fuis comme tous les autres. Après tout, ceux qui finissait à Azkaban avait toujours la tête pas clair, les idées noirs et loin d'avoir un cœur. Il en avait vu durant une année des fous alliés, la plupart du temps des sangs purs qui auraient pu lui crevé les yeux, le faire souffrir si ils avaient pu. Il passa des journées entières dans la chambre qu'il avait loué au chaudron baveur. Ce n'était pas fameux, loin de là même, ce n'était pas une chambre de luxe mais pour quelques galions, cela suffisait. Parfois, il lui suffisait de venir au besoin du patron pour faire l'accueil afin de gagner quelques gallions par si, par là. La plupart des gens le regardait avec peur et dégoût. Normal après tout, personne ne savait la vérité et pourtant il espérait qu'un jour au l'autre, elle éclate. Lui-même aurait pu devenir fou l’abat, ce n'était pas un lieu pour les tapettes, c'était un lieu qui pouvait vous faire devenir cinglés, avoir une case en moins, vivre ou mourir telle était la question, il avait choisi la force, celle de vivre et d'espéré. Il savait que le retour à Poudlard allait être bien chiant pour lui, avec tous les regards sur lui, toutes les paroles et les potins habituels des donzelles. Avant de rentré de nouveau à Poudlard et de faire l'année qu'il avait manqué, il avait une dernière chose à faire. Passé voir quelqu'un qui comptait pour lui. Il espérait simplement qu'elle veuille bien le revoir. Il s'habilla d'une simple veste en cuir noir, d'un pantalon noir, d'un t-shirt à manche longue bordeau et transplana en direction de la maison. Klaus arriva directement sur le palier de cette maisonnette qu'il connaissait bien. Elle était peut-être la seule femme qu'il aimait côtoyé. Il frappa à la porte deux coups puis celle-ci s'ouvrit... Il tomba nez à nez face à elle. Elle avait changer en un an. Tout comme lui d'ailleurs mais cela lui faisait du bien de voir son regard qu'il appréciait tant. «Klaus ! … T'es de retour ! ...» dit-elle alors. Il ne savait pas si il devait sauter de joie ou bien se préparé à un mensonge pour laquelle, elle ne souhaitait plus le voir. «Tu reviens à Poudlard ?... » La question fatidique car cela lui demanderait beaucoup d'effort d'affronter les regards, il aimait beaucoup le silence et le loup solitaire qu'il était. « On dirait bien... Je savais pas si je reviendrais il y a encore deux minutes... »  répondit Klaus alors de sa voix froide et sanguinaire. Il n'avait qu'un but à Poudlard protéger ceux qui devait être protéger et se venger. Soudain, le père de famille fit son apparition. Il n'avait pas vraiment l'être content de revoir le fils Podolski. Un peu normal vous me direz. « Ne t'approche plus d'elle, plus de qui que ce soit qui porte notre nom de famille. Tu ne mérite pas d'être de sortie ! Un sorcier comme toi, mérite la mort douloureuse ! C'est une menace alors me pose pas la question ! » dit alors le père de famille qui avait prit Klaus par la veste en cuire. Cela aurait pu finir en baston, en duel de baguette mais il ne voulait pas revenir faire un séjour à Azkaban. Alors il se laissa faire et partit aussi vite qu'il était revenu.

> PSEUDO :   Wigga/Flavio
> AVATAR :   Tyler Hoechlin
> COMMENTAIRES ?  Le meilleur  

Sois le/la bienvenue sur le forum ! Te voilà répartie à POUFSOUFFLE.

Tu peux aller choisir tes clubs, faire ta fiche de lien, et réserver ta particularité si elle a été approuvé par le staff, et enfin si tu es de sang pur pour achever ta présentation et que tu as  créée ta famille, merci de remplir le formulaire sur cette page !