> MAISON : tout comme ma mère, mon père et mes ancêtres, le choixpeau m'a conduit chez serpentard. là encore, c'est une tradition. mes parents m'ont élevé pour que j'adhère aux idéaux enseignés par cette maison. une chance, que j'y sois destinée. la coiffe pointue n'a pas hésité une seconde. ma rage de vaincre, ma sournoiserie et ma détermination ne pouvaient que me diriger vers les héritiers de salazar.
> OPTION/CURSUS OU EMPLOI : après ma scolarité à poudlard, je suis devenue auror au ministère de la magie. j'ai suivi la formation nécessaire sans jamais abandonner. ma carrière exemplaire m'a conduite jusqu'au sommet. peu avant mes trente ans, le ministre de la magie de l'époque me nomme chef du bureau des aurors. c'est un grand honneur qui m'est alors fait. j'occupe ce poste, jusqu'à la mort de mon mari. aujourd'hui, magnus gaunt m'a permise d'enseigner la défense contre les forces du mal. les gaunt ont toujours été de proches amis des o'riordan. à la mort de mes parents, ils étaient présents.
> BAGUETTE : faite de bois d'ébène, d'un cœur en ventricule de dragon et d'une longueur de 29 centimètres, cette baguette ne m'a jamais déçu. pas un combat n'a été perdu depuis notre rencontre. nous sommes en perpétuelle communion. elle me protège, m'obéit, me sert et je le lui rends bien.
> CLUBS : en tant que professeur de défense contre les forces du mal, je me dois d'assurer la présidence du club de duels. apprendre aux jeunes sorciers à se battre m'amuse beaucoup. le plus drôle, c'est de voir les vaincus tomber au sol.
> TRAITS DE CARACTÈRES : je suis tout, sauf docile et paresseuse. je sais ce que je veux et je remue ciel et terre pour l'obtenir. les obstacles ne me découragent pas ; déterminée j'ai également conscience de ma valeur et j'exige que les gens le reconnaissent ; prétentieuse je me sens parfaitement égale à l'homme. c'est pourquoi j'ai toujours fait prévaloir mes droits de femme et forcer le respect des hommes ; féministe sans le vouloir, une aura étrange se dégage de moi. j'attire les questionnements. l'attention. quelque chose cloche selon certaines personnes ; mystérieuse depuis la mort de mon époux, les relations sentimentales ne sont plus à l'ordre du jour, je me concentre à présent sur mon travail en tant que professeur à poudlard ; carriériste lors de mes premiers jours dans cette école, les élèves, comme les professeurs, s'interrogeaient beaucoup à mon sujet. je sortais de l'ombre. ma réputation me précédait ; intimidante je gravis les échelons depuis toujours. je travaille dur pour cela. car ma motivation, c'est le pouvoir ; ambitieuse de mes élèves, j'exige le meilleur. je prends mon rôle de professeur très au sérieux. je ne suis pas là pour être appréciée, je suis ici pour enseigner ; sévère mon poste, je l'ai mérité. je suis avide de connaissance, de savoir. me cultiver est un hobby ; érudit comme chacun, j'ai des secrets. je ne les partage avec personne et je ferais tout pour les protéger. mon arrivée à poudlard n'est pas dénué d'intérêt. une mission m'a été confiée. je compte bien l'accomplir ; cachotière
> PATRONUS : dans ma jeunesse, mon patronus prenait la forme d'une panthère, agressive et sournoise. mais depuis la mort de mon époux, la seule créature qui se matérialise est une immonde veuve noire, meurtrière, avide de sang. je n'utilise ce sort de défense qu'en cas d'extrême urgence.
> EPOUVANTARD: rien ne me terrifie plus que de voir le spectre prendre sa forme, à lui. mon défunt mari.
> DON (facultatif) : je n'en ai aucun j'en ai bien peur. du moins aucun de particulièrement magique.

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> AVEZ VOUS UN CAMP ? comme je l'ai dit, ó'riordan et gaunt sont très proches, depuis longtemps. familles de nobles sorciers. magnus m'a apporté du réconfort à la mort de mes parents. à l'époque, je n'étais qu'une jeune auror. aujourd'hui, je suis peut-être la dernière représentante de cette lignée en europe. et toute ma gratitude va vers les gaunt. j'ai côtoyé leurs membres avant mon exil. et je suis ravie de constater que magnus ne m'a pas oublié. grâce à ses relations, j'ai pu obtenir ce travail tant convoité à la grande école de magie. celle à laquelle j'ai moi-même étudié. je leur suis redevable. c'est certains. sans leur soutien, je ne serai pas là où j'en suis aujourd'hui.

> VOTRE OPINION SUR LA PLACE DU SANG DANS LA SOCIÉTÉ MAGIQUE ? je ne saurais donner mon avis. dans ma famille, nous avons toujours mis un point d'honneur à préserver la pureté du sang. c'est une tradition que nous perpétuons depuis tellement de générations, que j'en ignore aujourd'hui la raison. si un sang pur est plus fort, plus noble qu'un sang mêlé ? sans doute. je n'ai pas assez étudier la question pour me prononcer. je me contente d'évoluer dans les sphères auxquelles je suis admise. des familles nobles de sorciers. car il en a toujours été ainsi. les ó'riordan sont réputés.

> VOS AMBITIONS PERSONNELLES, LA VISION DE VOTRE AVENIR avant que magnus gaunt ne vienne à moi pour me proposer d'enseigner à poudlard, ma vie se résumait à un exil pur et simple dans notre ancien domaine irlandais. depuis, je pense avoir retrouvé cette ambition, cette rage de vaincre qui m'avait poussé jusqu'au bureau des auror il y a dix ans. bien sûr enseigner la défense contre les forces du mal n'est pas comparable. c'est un nouveau défi. défi que je suis prête à relever. c'est excitant. et sait-on jamais, peut-être un jour deviendrai-je directrice. directrice de poudlard, banba ó'riordan. qu'en pensez-vous ? ce sera là encore, un nouveau défi à relever.

depuis londres j'ai transplané. jusqu'ici. jusqu'à chez moi. me voilà devant l'immense portail en argent de notre propriété. il a été forcé. ce qui est d'ordinaire impossible pour un non ó'riordan. la nuit est tombée, la brume aussi et je me précipite à travers les haies, les rosiers, et les buissons de notre jardin. le domaine est vaste. arrivée devant la porte, elle aussi forcée, je redoute le pire. les lumières sont éteintes. il y a des traces de combat dans le grand hall, et une traînée de sang qui monte l'escalier principal. l'inquiétude s'empare de moi. dans le couloir, les corps des elfes de maisons sont étendues. victime d'un sortilège impardonnable. à la recherche de mes parents, je parcours l'étage jusqu'à atteindre leur chambre. et ils sont là, gisant au pied du grand lit, main dans la main. morts. je sens mon cœur éclater en milliers de morceau. j'hurle pour tenter d'éloigner la douleur mais c'est encore pire. tout mon corps s'effondre sous la pression, tout mon être tombe en lambeau. quand darragh arrive à toute vitesse. « oh seigneur, non... » mon époux me trouve à genoux, larmoyante à souhait, devant les cadavres de mes parents. « banba.. » il tente une approche, mais je me débats. il me saisit et me recouvre de ses bras, tandis que je hurle, je hurle et hurle encore.

mes parents, angus et majella ó'riordan ont été assassinés dans notre propre maison, par un sorcier à l'identité inconnue pour lors. darragh, mon époux à l'époque, a immédiatement prit les choses en main. je n'avais plus de famille. en quelque sorte. d'autres ó'riordan vivent en grande-bretagne, mais nous sommes brouillés. mon frère, dalaigh, n'a jamais accepté mon mariage avec darragh, parce qu'il est un ó'carroll. ennemi millénaire de notre famille. à ma connaissance, les autres ont tous disparus. la dernière branche du grand chaîne o'riordan était la nôtre. ce jour-là, elle s'est brisée à jamais. darragh et moi-même avons emménagé dans la demeure familiale. il est auror lui aussi. nous travaillons ensemble. c'est d'ailleurs ainsi que nous nous sommes rencontrés. bien que pendant mon deuil, je ne quittais pas beaucoup le domaine. j'ai surmonté cette épreuve avec force et repris mon travail. si bien, que l'on m'a nommé chef du bureau des auror. j'étais ravie. darragh, un peu moins.

nous mangeons notre dîner. les elfes nous ont apporté les plats. chacun est à un bout de table, silencieux. je trempe ma cuillère dans la soupe, et la porte jusqu'à ma bouche. un silence macabre règne dans la pièce. le bruit du pendule de l'horloge seul résonne. « pourquoi ? » darragh relève la tête en ma direction, et me regarde d'un air interrogatif. « pourquoi as-tu assassiné mes parents ? » mon tendre époux se pétrifie, alors que je le fixe, calme, le visage dénué d'émotions. « pourquoi darragh ? » il ne me répond toujours pas. impassible, il continue de me regarder, droit dans les yeux. « pourquoi ?! » la rage s'empare de moi. d'un geste ferme de la main droite je lui lance le sortilège de confringo qu'il contre sans difficulté. mais je ne m'arrête pas là. enchaînant les coups de baguette, la table vole en éclat à mesure qu'il dévie mes sorts d'attaque. agacée, je la brise une fois pour toute, avant de réussir à le maîtriser. « incarserem ! ». darragh est prit au piège. je le tiens en joue, en m'approchant de lui. « ils t'ont accepté ! et toi, toi.. » tous les moyens sont bons pour le faire parler. c'est donc sans le moindre scrupule que je lui inflige le sortilège d'endoloris. l'entendre geindre est un réel plaisir. les cris de douleurs, laissent place aux rires. « pauvre idiote ! tu ne t'es rendu compte de rien.. tous, je vous ai tous berné ! » je découvre soudain mon mari sous un jour nouveau. un monstre, un malade mental dénué de raisons, de sentiments. « vous méritez de mourir, tous autant que vous êtes ! des voleurs, des assassins ! vous ó'riordan ! soyez maudits ! » « assez ! » une fois de plus je le torture. son poison m'atteint presque. mais mes sévices ne suffissent pas à le faire taire. « j'ai pris tellement de plaisir à les achever. mais avant, je me suis amusé, je les ai fait souffrir comme ils ont fait souffrir les miens ! » toutes ces horreurs finissent de me rendre folle. je n'entends plus ma raison. les larmes coulent. ma mâchoire se ressert. « avada kedavra ! »

darragh ó'carroll. l'homme que je croyais différent des autres. désintéressé des vieilles qurelles qui ont déchiré notre famille, nos ancêtres, n'était qu'un loup dormant, décidé à tous nous anéantir. les ó'carroll et les ó'riordan. un antique combat les avait opposé, et ma famille en était sortie vainqueur. nous octroyant le prestige, la richesse et la noblesse à laquelle nous avions toujours prétendu. les ó'carroll se cachait derrière les disparitions mystérieuses de mes ancêtres. ce qui explique notre déclin aujourd'hui. fort heureusement, nous n'avions pas d'enfant. car oui, j'ai assassiné mon mari, mais cela personne ne l'a jamais su. sans rien ni personne, je me suis tournée vers les seuls amis qu'il me restait. les gaunt. magnus s'est occupé de tout. il a prit soin de moi. il a couvert ma folie comme un père l'aurait fait. après cela, j'ai abandonné mon statue de chef du bureau des auror, pour partir en exil. magnus pensait que c'était mieux ainsi. qu'il fallait me faire oublier un temps et panser mes blessures.

ce n'est qu'il y a à peine deux mois, que mon retour a été fait dans la société. magnus a fait appel à moi pour enseigner à poudlard. mes années en tant qu'auror semblent me qualifier au plus haut point, m'a t-il dit. il est bon de revenir parmi les vivants. et si monsieur gaunt me le demande. je ne peux refuser. je lui serai à jamais redevable. me voici donc professeur de défense contre les forces du mal, avec une tâche bien précise à accomplir.

> PSEUDO :   endless hope, pas trop connue.
> AVATAR :   la sublime, la magnifique, angelina jolie man.
> COMMENTAIRES ?   votre forum m'a grave donné envie de revenir dans le monde du rpg. ça change, c'est bien construit. une intrigue qui va doucement se mettre en place. je veux trop en faire partie. et puis regarder moi ce design de MALADE.  

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